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Translation - French-Spanish - Cette prime à l’accouplement ...Current status Translation
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| Cette prime à l’accouplement ... | | Source language: French
Cette prime à l’accouplement ignoble de la plus basse populace, au coït des infirmes, des idiots, des incapables de toutes sortes, accroîtra sans nul doute le fumier social qui engraisse l’élite, mais pas autant cependant qu’on pourrait l’imaginer. Il faut compter avec la moralité, elle s’élèverait d’autant plus que le nombre de parents parmi ceux que la prime allèchera, n’auront d’enfants que pour l’obtenir … et abandonner ensuite avec la plus parfaite insouciance les petits qu’un bas calcul leur aura fait procréer. |
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| Esta recompensa al apareamiento... | TranslationSpanish Translated by acrobata | Target language: Spanish
Esta recompensa al apareamiento innoble del más vulgar populacho, al coito de los inválidos, de los idiotas, de los incapaces de toda suerte, incrementará sin duda alguna el estiércol social que abona la élite, pero sin embargo no tanto como se podrÃa imaginar. Hay que contar con la moralidad, ella crecerÃa tanto como el número de padres que la recompensa atraerá, que sólo tendrán hijos para conseguirla... y abandonar después con la más perfecta indiferencia los pequeños que un vulgar plan habrá hecho engendrar. |
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Last messages | | | | | 24 March 2014 21:06 | | | Hi Francky,
Does this make sense, my friend? CC: Francky5591 | | | 24 March 2014 23:14 | | | If it makes sense? Yes, only in a way though, as it is some kind of diatribe spawn by a nostalgic of the dark ages, when there wasn't any existing social welfare yet (i.e : The Middle Ages). Or could be some kind of fascist diatribe as well.
Or was it written by someone from the end of the XIXth century about the emerging social welfare, one of those wealthy citizens who could not stand that the working class can have any subsidy which improved a little bit hardness of its condition?
| | | 24 March 2014 23:14 | | | the tone towards the working class is hatred and despising | | | 24 March 2014 23:19 | | | "le fumier social qui engraisse l’élite" : the working class produces kids who will become workers at their turn and will keep on working for the same bosses.
http://www.uniondesfamilles.org/histoire-politique-familiale-france.htm
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/pop_0032-4663_1951_num_6_3_2555 | | | 24 March 2014 23:22 | | |
En 1916, Emile Romanet, ingénieur, de sensibilité chrétienne-sociale, décide d'accorder au personnel de l'usine JOYA (Grenoble) les premières allocations familiales.
En janvier 1918, ému par la condition des femmes, souvent mères de famille, qui trient le charbon pendant la Première Guerre mondiale, Emile Marcesche convainc les patrons morbihannais de créer une caisse de compensation : c'est la première caisse d'allocations familiales de France.
En avril 1918, le syndicat patronal des constructeurs, mécaniciens, chaudronniers et fondeurs de l'Isère crée une caisse d'allocations familiales (appelée aussi caisse de compensation). Ce système se développera dans d'autres régions et l'on comptera au début des années 1930 plus de 200 caisses de compensation.
Le 27 octobre 1918, Emile Romanet déclare devant une assemblée de l'Union fraternelle du commerce et de l'industrie de Lyon que "pour éviter que, dans une industrie, le patron ne soit influencé dans le choix de ses ouvriers par la perspective de ses charges de famille, jugées excessives pour lui, le Syndicat des constructeurs (de Grenoble) a décidé de prendre à sa charge le paiement de la totalité des allocations familiales. Une caisse spéciale a été établie ; elle est alimentée par les industriels au prorata du nombre d'ouvriers qu'ils occupent. Elle porte le nom de caisse de compensation des indemnités et allocations de famille"[2].
En 1929, après un premier projet élaboré par Blain, un second projet de généralisation des allocations familiales est établi par Maurice Eblé, avocat engagé dans le catholicisme social, avec la commission de législation de la C.F.T.C. ; ce projet est repris en proposition de loi par Jean Lerolle et voté. La C.F.T.C. adresse des remerciements aux députés signataires[3].
Le 11 mars 1932, la loi Landry généralise les allocations familiales pour tous les salariés de l'industrie et du commerce, l'adhésion des employeurs à une caisse de compensation devenant obligatoire. Le montant des allocations peut varier selon les catégories professionnelles et d'un département à l'autre et l'intervention de l'État est encore limitée (fixation d'un taux minimum départemental, procédure d'agrément ministériel pour chacune des caisses)[4] .
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