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Érkezett fiók - hajiba

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Szerző
Hozzászólás

9 Július 2008 10:02  

bernard de vernon
Hozzászólások száma: 29
أيتها الأخت الكريمة - شكراً لك على رسالتك اللطيفة . أنا فرنسي محب للغة العربية وابذل كل ما بوسعي لنقل النصوص الأدبية وبطبيعة الحال نصوصك عند الاقتضاء . إلى اللقاء مع ألف سلام
 

9 Július 2008 21:23  

marhaban
Hozzászólások száma: 279
=أهلا وسهلا =

أتمنى لك المزيد من المشاركات ، نحن مجتمع كوكوميس في خدمة أعضائه باختلاف لغاتهم.حقيقة إنّه نص في منتهى الرّوعة فمزيدا من الكدّ و النشاط.
أخوك marhaban
 

14 Július 2008 15:08  

bernard de vernon
Hozzászólások száma: 29
حاجبة العزيزة - أحببت كثيراً أبيات شعرك إنصهار و سأحاول ترجمته إلى الفرنسية قدر الإمكان .كلمة واحدة لم أفهمها وهي تناتلت بنبضه الفراش ربيعاً . أرجوك التوضيح لأتمكن من إستيعاب هذه الأسطر الجميلة والرائعة
 

22 Július 2008 17:36  

bernard de vernon
Hozzászólások száma: 29
Chère Hajiba

Je viens de corriger le dernier vers "et moi je suis leur terreau" . J'ai conservé "les fruits du palmier" parce qu'il me semble plus poétique en français que "les grappes du palmier" ou si l'on doit être exact "les régimes de(bananes ou de dattes)". Votre texte est magnifique. Malgré votre éclaircissement à propos des mamluks, j'ai cru bon, là aussi, compte tenu de le sensibilité de l'oreille francophone parler d'empires...avec votre permission.
Bien à vous et amicalement.
FUSION

Un clair
De lune sur les rives
De mon corps
Dont les lacis du cœur ont aperçu
Une fleur sauvage
Rêvant d’une clarté explorant les empires,
Se consume !!!
Les navires en perdition
Dans les ténèbres (de l’aridité)
Sont tels un cœur impatient
Que les papillons enveloppent de leur pulsation
Au printemps…
En source…
Le dernier périple dans (l’univers) des contes
Sur le lac du silence
Ne sont que propos taris !!!
Leur sécheresse suinte
Aux abords des steppes
Entre les collines de la passion… !
Un amant me comble
Tel les régimes du palmier
A la cime élevée et ardente
Telle cette pluie à profusion qui embrasse le sol
Dont je suis le réceptacle…
L’envoûtement au début d’une passion
C’est la braise incandescente des veillées
Les ritournelles des amants
Et parmi les vestiges (de mon village)
J’unissais l’arbre à l’eau
Et concevais la glaise
Entre les caprices de mes convulsions
Tu m’embrassais !!!
Epis des champs,
Le jet entre leurs mains
Etaient- ce mes effluves et moi leur terreau ?




 

26 Október 2009 16:40  

bernard de vernon
Hozzászólások száma: 29
يعجبني دائماً كل ما تكتبين و يحس قلبي بفرح لما يسمع عنك
si tu veux correspondre souvent avec moi voici mon email: bjmguyot@aol.fr
 
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